Selon lui, le journaliste et le caméraman, en plus de leur travail journalistique, ont recueilli des informations sur les mouvements des unités militaires de la République populaire de Lougansk et sur la localisation des barrages routiers. Les journalistes ont été arrêtés lundi pour espionnage.
« Durant leur séjour chez nous, ils se sont trouvés dans des conditions ne mettant pas en cause leur dignité humaine, ils n’ont été soumis à aucune pression physique ou psychologique », a souligné Bolotov. Celui-ci a rappelé que les journalistes ukrainiens étaient libérés à la demande des dirigeants des trois principales chaînes de télévision russes.