C'est ce qu'a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères.
Le ministère a noté que « la responsabilité de la violence était imposée uniquement » sur le gouvernement syrien. La résolution n'évoque pas la menace pour les droits de l'Homme, émanant de « groupes djihadistes agissant en Syrie, les actions desquels sont visées à déstabiliser la situation dans toute la région ».
« Les élections légitimes qui ont eu lieu dans le pays souverain étaient soumises à la critique mal fondée », a souligné le ministère russe des Affaires étrangères.