« Nous avons entendu la partie russe. Beaucoup de questions ont été posées. Nous estimons qu'il est temps d'engager un dialogue à part entière entre les deux nations », dit le président du comité, Jose de Venecia, cité par ITAR-TASS.
« Nous invitons le président élu d'Ukraine Piotr Porochenko à entamer un dialogue avec la Russie et à résoudre le problème du sud-est du pays », a-t-il insisté.
Piotr Porochenko avait déclaré au journal Bild qu'il était prêt à négocier avec le président russe Vladimir Poutine au nom de la désescalade et de la paix. Entre-temps, l'opération musclée se poursuit dans la région ukrainienne de Donetsk pour « s'emparer des chefs » des milices.
Les partis politiques d'Asie discutent des problèmes à l'ordre du jour de l'Asie-Pacifique. Les débats sont dominés par la prévention des « révolutions de couleur ». « Nous faisons valoir l'inadmissibilité de l'ingérence dans les affaires intérieures des pays souverains. Malheureusement, force est de constater des tentatives de déstabiliser la situation dans le monde à l'aide des technologies de ce genre. Nous estimons nécessaire d'élaborer une position commune, très équilibrée, pour prévenir des violations du droit international », a souligné le sénateur russe Andrei Klimov, membre du conseil général du parti Russie unie.
La CIPPA réunit 359 partis politiques de 53 pays d'Asie-Pacifique. Le Comité permanent qui regroupe les délégués de 22 partis les plus importants, se réunit deux ou trois fois par an pour discuter des problèmes politiques courants entre deux Assemblées générales.