Ce nouveau code pénal prévoit des peines dures pour les musulmans. Ainsi, un époux convaincu d’adultère sera lapidé en public. Un voleur aura la main amputée.
L’ONU a déjà exprimé sa préoccupation par ces évolutions au Brunei, en notant que, par exemple, une lapidation était qualifiée par le droit international de torture.
L’Etat du Brunei Darussalam, dont les musulmans représentent plus de 70 % de la population, devient le premier pays du Sud-est asiatique à réformer aussi radicalement sa législation criminelle.