« Le document de Genève constitue une bonne base pour la poursuite des travaux, mais on ignore si les autorités ukrainiennes pourraient trouver un courage et une volonté politique pour proposer des formules assez intéressantes pour le nouveau projet de constitution, et si elles pourraient désarmer ces nationalistes radicaux ? », a indiqué le diplomate russe à la chaîne de télévision Rossia 24.
Dans ce contexte, Tchourkine espère que la poursuite des contacts avec les Etats-Unis et l'Union européenne sera « l'occasion pour encourager les nouvelles autorités ukrainiennes à quelques mesures raisonnables parce qu'ils (les Ukrainiens) ne sont certainement pas en mesure de le faire d'une façon indépendante ».