« Nous savons très bien qu’en cas des sanctions économiques les intérêts de nos sociétés seront également touchés, car la Russie est une économie globale importante », a indiqué le leader américain ce jeudi à Rome à l’issue des pourparlers avec le premier ministre italien Matteo Renzi.
Obama a souligné que « pour l’instant, il ne s’agit pas d’introduire des sanctions économiques, applicables à des secteurs entiers de l’économie, notamment l’énergie et la défense. »