Mme Kovitidi a rappelé que la décision de tenir un référendum le 16 mars qui abordera la question sur l'adhésion à la Russie est le résultat des actions des autorités de Kiev. Selon Kovitidi, il y a deux présidents en Ukraine aujourd’hui, et il est difficile de savoir qui gouverne le pays réellement.
« Nous avons peur des autorités de Kiev, et nous ne les croyons pas », a noté le vice-Premier ministre. Il s'agit également de décisions dans le domaine de la politique linguistique, en particulier, l'interdiction de l'utilisation de la langue russe, a ajouté Kovitidi.