Le but est de frapper les débris qui se consumeront sans faire de dégâts lorsqu'ils retomberont dans l'atmosphère.
Le projet est réaliste et pourrait voir le jour dans les dix prochaines années, a déclaré à Reuters Matthew Colless, directeur de l'Ecole de recherche en astronomie et astrophysique de l'Université nationale australienne.
Les scientifiques estiment qu'il y a plus de 300.000 débris dans l'espace, composés essentiellement de petites vis et de boulons provenant de fusées.