« Le format s'est avéré quelque peu décevant, a-t-il dit. Deux nouveaux pays ont été ajoutés au dernier moment sur la liste des participants et l'Iran en a été exclu, ce qui a créé un déséquilibre ».
« Il se trouve que la plupart des pays présents sont hostiles à la Syrie », a noté le diplomate. Il désapprouve les tentatives de procéder à un règlement politique alors que la Syrie est menacée de nombreux groupes terroristes.
« La Syrie a besoin d'un soutien sincère pour appliquer les résolutions de Genève 1, mais pour ce faire, il faut mettre fin au terrorisme et à la violence ».
« Il est impossible d'être incendier et pompier à la fois », a ajouté Bachar al-Jaafari à propos des pays qui soutiennent les terroristes.