« Il n’y a aucun doute que les menaces et les risques sont encore élevés pour la Turquie », explique-t-il.
En janvier dernier, l’OTAN avait déployé six systèmes Patriot, fournis par les États-Unis, l’Allemagne et les Pays-Bas à des régions turques frontalières de la Syrie. Cela a été fait suite à la demande d’Ankara de renforcer sa défense antimissile et aérienne en cas de frappe de la part de la Syrie.