Londres a jugé que les actions des fanatiques n’étaient pas arrêtées délibérément par les autorités du pays, et voire mêle initiées par ces autorités. L'Iran a nié ces accusations, affirmant qu’une foule en colère a été l’initiatrice des troubles, exprimant ainsi leur mécontentement par le soutien d’Israël par les Etats-Unis.
La reprise des relations diplomatiques est liée avec l’arrivée au pouvoir du nouveau président en Iran Hassan Rohani, considéré comme un homme politique avec des vues relativement libérales.