Selon Amos, cette « interruption » est nécessaire pour évacuer les civils et fournir des médicaments.
Au cours de ces dernières semaines, Maadamiyeh s’est retrouvé au centre des combats. Dimanche dernier, la filiale syrienne du Croissant-Rouge a réussi à faire sortir de la zone 3.000 personnes.
Depuis lors, 31 personnes sont mortes ce samedi suite à l’explosion et des affrontements dans la banlieue de Damas.