© © Photo : La Voix de la RussieL’empereur Alexandre 1er et son inflexible décision du 24 mars 1814 à Sompuis de marcher vers Paris ont joué un rôle extrêmement important dans la campagne de France de 1814. La prise de la capitale française n’a pas été que le triomphe personnel d’Alexandre 1er, mais aussi une des plus grandes victoires de l’armée russe de l’histoire de la Russie impériale. Reproduction du tableau de Vladimir Borovikovski Alexandre 1er de Russie, issu de la collection du Musée Russe.
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L’empereur Alexandre 1er et son inflexible décision du 24 mars 1814 à Sompuis de marcher vers Paris ont joué un rôle extrêmement important dans la campagne de France de 1814. La prise de la capitale française n’a pas été que le triomphe personnel d’Alexandre 1er, mais aussi une des plus grandes victoires de l’armée russe de l’histoire de la Russie impériale. Reproduction du tableau de Vladimir Borovikovski Alexandre 1er de Russie, issu de la collection du Musée Russe.
© © Photo : La Voix de la Russie« Dieu me l’a donnée, gare à qui la touchera » (Napoléon Bonaparte) Reproduction du tableau de Jacques-Louis David Napoléon dans son cabinet de travail (1812), issu de la collection de la National Gallery of Art de Washington.
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« Dieu me l’a donnée, gare à qui la touchera » (Napoléon Bonaparte) Reproduction du tableau de Jacques-Louis David Napoléon dans son cabinet de travail (1812), issu de la collection de la National Gallery of Art de Washington.
© © Photo : La Voix de la RussieLe soulèvement des Allemands contre les occupants français a commencé avec l’allocution du feld-maréchal Mikhaïl Koutouzov au peuple allemand. Ils ont frappé de façon destructrice les lignes arrières françaises et ont contribué à la chute de l’empire napoléonien. Reproduction du tableau Son Altesse princière M. I. Koutouzov, issue de la collection du Musée historique d’État.
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Le soulèvement des Allemands contre les occupants français a commencé avec l’allocution du feld-maréchal Mikhaïl Koutouzov au peuple allemand. Ils ont frappé de façon destructrice les lignes arrières françaises et ont contribué à la chute de l’empire napoléonien. Reproduction du tableau Son Altesse princière M. I. Koutouzov, issue de la collection du Musée historique d’État.
© © Photo : La Voix de la RussieHuit mille soldats (dont six mille Russes) sont morts en une seule journée lors de la bataille de Paris en 1814. Cela a été une des batailles les plus sanglantes pour les alliés. Reproduction du tableau La capitulation de Paris, issu de la collection du Musée historique d’État. L’auteur est inconnu.
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Huit mille soldats (dont six mille Russes) sont morts en une seule journée lors de la bataille de Paris en 1814. Cela a été une des batailles les plus sanglantes pour les alliés. Reproduction du tableau La capitulation de Paris, issu de la collection du Musée historique d’État. L’auteur est inconnu.
© © Photo : La Voix de la RussieLes clefs de la ville symbolisent son contrôle. La tradition de les remettre au vainqueur est la reconnaissance formelle de sa soumission. Les conquérants attendent en général à ce que la remise des clefs ait lieu sur une hauteur. C’est de là que vient la symbolique du mont Poklonnaïa (dont le nom vient du verbe russe « s’incliner »). Clefs de forteresses de villes européennes, issues de la collection du Musée historique d’État (milieu XVIIIe, début XIXe). De gauche à droite : Brême, Dantzig, Cologne, Bréda.
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Les clefs de la ville symbolisent son contrôle. La tradition de les remettre au vainqueur est la reconnaissance formelle de sa soumission. Les conquérants attendent en général à ce que la remise des clefs ait lieu sur une hauteur. C’est de là que vient la symbolique du mont Poklonnaïa (dont le nom vient du verbe russe « s’incliner »). Clefs de forteresses de villes européennes, issues de la collection du Musée historique d’État (milieu XVIIIe, début XIXe). De gauche à droite : Brême, Dantzig, Cologne, Bréda.
© © Photo : La Voix de la Russie« Au courageux Osterman de la part des femmes tchèques ». C’est l’inscription qui se trouve sur la coupe offerte à Alexandre Ostermann-Tolstoï en commémoration de la Bataille de Kulm du 29 août 1813. Lorsqu’il a reçu cette coupe, Alexandre Ostermann-Tolstoï a ordonné de graver, en souvenir de ces camarades militaires, les noms de dix-sept gardes commandants de régiments ou sous-officiers, morts héroïquement à Kulm. Maître I. Forstner, 1813. Or, argent, diamants.
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« Au courageux Osterman de la part des femmes tchèques ». C’est l’inscription qui se trouve sur la coupe offerte à Alexandre Ostermann-Tolstoï en commémoration de la Bataille de Kulm du 29 août 1813. Lorsqu’il a reçu cette coupe, Alexandre Ostermann-Tolstoï a ordonné de graver, en souvenir de ces camarades militaires, les noms de dix-sept gardes commandants de régiments ou sous-officiers, morts héroïquement à Kulm. Maître I. Forstner, 1813. Or, argent, diamants.
© © Photo : La Voix de la RussieLes plaques sur les shakos (couvre-chefs de hussards) sont apparues lors des déplacements à l’étranger de l’armée russe (de 1813 à 1816). Elles étaient faites de cuivre et avaient la forme de boucliers amazoniens sur lesquels est inscrit « Pour s’être distingué ». Pour commémorer les actes héroïques de la bataille de la Katzbach, lors de laquelle la cavalerie française a été mise en fuite, une plaque avec pour inscription « Pour s’être distingué le 14 août 1813 » a été créée.
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Les plaques sur les shakos (couvre-chefs de hussards) sont apparues lors des déplacements à l’étranger de l’armée russe (de 1813 à 1816). Elles étaient faites de cuivre et avaient la forme de boucliers amazoniens sur lesquels est inscrit « Pour s’être distingué ». Pour commémorer les actes héroïques de la bataille de la Katzbach, lors de laquelle la cavalerie française a été mise en fuite, une plaque avec pour inscription « Pour s’être distingué le 14 août 1813 » a été créée.
© © Photo : La Voix de la RussieLa bataille de Liepzig, ou bataille des Nations, est la plus grande bataille de l’histoire jusqu’à la Première Guerre mondiale. Entre le 16 et le 19 octobre 1813, la coalition des Russes, des Autrichiens, des Prusses et des Suédois a vaincu l’armée française de Napoléon Bonaparte. Reproduction de la gravure de J. Wagner La bataille des Nations de Liepzig.
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La bataille de Liepzig, ou bataille des Nations, est la plus grande bataille de l’histoire jusqu’à la Première Guerre mondiale. Entre le 16 et le 19 octobre 1813, la coalition des Russes, des Autrichiens, des Prusses et des Suédois a vaincu l’armée française de Napoléon Bonaparte. Reproduction de la gravure de J. Wagner La bataille des Nations de Liepzig.
© © Photo : La Voix de la RussieIl y avait une tradition dans l’armée russe qui voulait que les unités qui s’étaient distinguées lors des batailles fussent récompensées d’une trompette en argent. Cela était dû au fait que plusieurs armes n’avaient pas de bannières, mais elles avaient toutes des trompettes, des clairons et des tambours (afin de transmettre des ordres lors de sorties). Pour ses actions militaires de 1812 à 1814, la Garde impériale finlandaise a reçu une trompette en argent, sur laquelle était inscrit « En récompense du courage démontré lors de la bataille de Liepzig le 4 octobre 1813 » (la date correspond à l’ancien calendrier). Ci-contre : lettre de l’empereur Nicolas Ier de 1826 confirmant l’octroi par Alexandre Ier le 27 avril 1814 d’une trompette en argent à la Garde impériale finlandaise pour s’être distinguée lors de la bataille de Liepzig contre les Français.
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Il y avait une tradition dans l’armée russe qui voulait que les unités qui s’étaient distinguées lors des batailles fussent récompensées d’une trompette en argent. Cela était dû au fait que plusieurs armes n’avaient pas de bannières, mais elles avaient toutes des trompettes, des clairons et des tambours (afin de transmettre des ordres lors de sorties). Pour ses actions militaires de 1812 à 1814, la Garde impériale finlandaise a reçu une trompette en argent, sur laquelle était inscrit « En récompense du courage démontré lors de la bataille de Liepzig le 4 octobre 1813 » (la date correspond à l’ancien calendrier). Ci-contre : lettre de l’empereur Nicolas Ier de 1826 confirmant l’octroi par Alexandre Ier le 27 avril 1814 d’une trompette en argent à la Garde impériale finlandaise pour s’être distinguée lors de la bataille de Liepzig contre les Français.
© © Photo : La Voix de la Russie« Si je perdais Vandamme, je ne sais pas ce que je donnerai pour le récupérer. Mais si j’en avais deux, je devrais en faire fusiller un. » (Napoléon Bonaparte) Ci-contre : reproduction de la gravure de K. Rahl, selon un original de I. Klein Capture du général D-J. R. Vandamme à Kulm.
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« Si je perdais Vandamme, je ne sais pas ce que je donnerai pour le récupérer. Mais si j’en avais deux, je devrais en faire fusiller un. » (Napoléon Bonaparte) Ci-contre : reproduction de la gravure de K. Rahl, selon un original de I. Klein Capture du général D-J. R. Vandamme à Kulm.