Les cinq membres permanents du CS de l'ONU plus l’Allemagne insistent sur une réduction substantielle par Téhéran de plus de 10 mille centrifugeuses qu’il possède, sur le transfert à l’étranger de la plus grande partie des réserves d’uranium faiblement enrichi et sur un strict contrôle de la quantité de ce combustible que l’Iran sera autorisé à garder, a appris à Associated Press un ancien diplomate de haut rang de l’ONU qui faisait la médiation entre les Etats-Unis et la partie iranienne.
Selon l’AIEA, l’Iran possède environ 200 kg d’uranium enrichi à 20 % qui peut être facilement converti en uranium de qualité militaire, comme le craignent des experts.