Selon les analystes de la HSBC, depuis l'hiver 2011, lorsque l'événement a commencé, en secouant le monde arabe, la Tunisie, la Libye, l’Egypte, le Yémen, la Syrie, le Bahreïn et la Jordanie ont subi les plus grandes pertes. Les experts ont évalué non seulement les pertes économiques directes, mais aussi des pertes indirectes, qui comprennent une baisse des investissements et une croissance plus lente des économies des pays énumérés. La conséquence de tels dommages, a noté la HSBC, serait une augmentation de l'écart de développement économique entre les pays de la région.
Le « printemps arabe » a coûté plus de 800 milliards de dollars
© Photo : EPA
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Le préjudice pécuniaire causé par « printemps arabe » a été estimé à 800 milliards de dollars par les experts de la banque britannique HSBC.
