Selon elle, « Washington viole les droits de l’homme, la liberté sociale et la souveraineté » des pays, rapportent les médias latino-américains.
« Une telle intervention est une violation du droit international », souligne Dilma Rousseff. « Personne ne peut utiliser le cyberspace comme moyen de guerre, surtout en recourant à l’espionnage et au sabotage », fait-elle remarquer.
Le Brésil a critiqué la position de Washington. Ce dernier affirme que les données interceptées ont contribué à la lutte contre le terrorisme.