Selon Rice, après l'utilisation d'armes chimiques en Syrie le 21 août, il y a une menace liée au fait que des armes chimiques pourraient tomber dans les mains des extrémistes, y compris le mouvement Hezbollah libanais et les branches de l’Al-Qaïda.
« Cette perspective met les Américains au risque d'une attaque chimique ciblant nos soldats et nos diplomates dans la région, et même potentiellement nos citoyens sur notre territoire », a déclaré Susan Rice, s'exprimant à Washington.