Le président égyptien déchu par les militaires le 3 juillet 2013, au cours de son gouvernement, n'avait pas cessé de faire pression sur les tribunaux, ont indiqué les médias. En particulier, il a accusé un groupe composé de 22 juges d'avoir truqué les élections présidentielles en 2005, remportées par Hosni Moubarak.
La semaine dernière, Morsi et 14 autres dirigeants du mouvement les Frères musulmans ont été accusés d'incitation à la violence et l’effusion de sang.