Près de 1.500 personnes ont été tuées dans l'attaque chimique lancée le 21 août dans une banlieue de Damas, a annoncé vendredi le secrétaire d'Etat américain John Kerry, citant les services secrets du pays.
Selon un rapport du renseignement américain, le massacre chimique perpétré dans la région de Damas a fait au moins 1.429 morts, dont 426 enfants.
L'Occident en rejette la responsabilité sur le gouvernement syrien et envisage une intervention militaire en Syrie.
Les autorités syriennes réfutent cette accusation et affirment n'avoir jamais utilisé de gaz de combat contre les civils.