Il a précisé que lors d'une conversation téléphonique, le chef des rebelles syriens lui avait communiqué que les troupes gouvernementales avaient mené des bombardements massifs et utilisé des gaz de combat.
Selon Laurent Fabius, « si l'utilisation d'armes chimiques est avéré, il devra y avoir une réaction de la France. Une réaction forte », a précisé le ministre, refusant de parler de réaction militaire. « Pas question d'envoyer des troupes au sol », a-t-il assuré.