Le ministère de l'Intérieur avait d'abord rapporté que les détenus avaient été tués lors d'un échange de tirs, après que des inconnus ont attaqué le convoi de la police qui transportait plus de 600 détenus.
Plus tard, le ministère a reconnu que les détenus étaient morts asphyxiés par les gaz lacrymogènes des policiers. Selon un communiqué du ministère, un policier brièvement pris en otage est gravement blessé.