Selon la personne lésée, la police l'a informée que le positionnement du téléphone pour localiser le délinquant enfreint le droit du dernier sur l'intégrité des données personnelles.
Cette position a été confirmée aux journalistes par le chef du bureau criminel de la préfecture du district Põhja-Tallinn, Priit Pärkna, dans lequel cet incident s'est produit. Selon lui, lafilature viole sérieusement les droits de l’Homme, c’est pourquoi la police ne recoure à de telles mesures qu'en dernier recours.
La personne lésée croit que les policiers étaient tout simplement trop paresseux pour chercher son téléphone portable.