Le magazine note que des « puces électroniques ont été installées » dans les locaux des missions diplomatiques qui permettaient d’enregistrer les conversations des diplomates européens.
Der Spiegel relève plus spécialement que dans le document marqué « strictement confidentiel » datant de septembre 2010, est décrit par le menu tout le système de cybersurveillance des diplomates de l’UE.