Selon les dernières données, plus de 600 personnes ont péri là. Mais 14 mille personnes figurent parmi les disparus. C'est pourquoi, le nombre de victimes peut se révéler considérablement plus grand.
La saison des pluies, arrivée cette année en Inde avant la période ordinaire, a provoqué un débordement des rivières et des glissements du terrain. La partie nord du pays a été atteinte le plus, là, se trouvent plusieurs temples sacrés pour les Indiens. Dans la zone du sinistre se trouve aussi la ville de Richikech, populaire parmi les touristes.
Maintenant, le temps s'améliore, mais le niveau de l'eau au Gange et dans ses affluents reste toujours très haut. Les militaires locaux et les sauveteurs tentent d'évacuer les gens des régions les plus dangereuses, a communiqué l'inspecteur général des incidents extraordinaires Sandip Ratkhor.
« Maintenant, l’évacuation se fait à toute vitesse. Particulièrement des régions qui se sont trouvées entièrement isolées à cause de l'eau. Nous envisageons d’effectuer le gros des travaux d'évacuation pendant les deux jours à venir. »
Auparavant, le président de Russie Vladimir Poutine a envoyé un télégramme de condoléances aux autorités de l'Inde, a exprimé son soutien à tous ceux qui ont perdu des proches. Le chef de l'État russe a proposé au peuple indien l'aide dans l'élimination des conséquences de ce cataclysme.