L’investigation a révélé que Dolce et Gabbana auraient dissimulé des revenus pour une somme d’un milliard de dollars. Pour ce faire, ils plaçaient cet argent dans une société enregistrée au Luxembourg. La fraude fiscale a été commise au cours des années 2004-2005.
La décision du tribunal ne signifie pas que les couturiers qui étaient absents au procès au tribunal de Milan, se retrouveront derrière les barreaux. Dolce et Gabbana envisagent de faire appel de cette décision.