« Les leaders du G8 ont réussi à adopter une déclaration sur la Syrie d'une portée non-négligeable. »
Dans cette optique, il a évoqué le programme qui comprend sept étapes et qui prévoit entre autre de renforcer la pression diplomatique sur les parties en conflit afin de donner le départ au processus négocié. Il s'agit aussi de l'octroi de quelque 1,5 milliard d'euros d'aide humanitaire au peuple syrien.
Bien que le communiqué final ne contienne pas de clause qui évoque le sort du président syrien Bashar Assad, M.Cameron a déclaré qu'« il ne se représentait pas la Syrie qui soit dirigée par cet homme. » Ceci dit, il a souligné qu'il ne voulait pas que « le changement du régime soit accompagné du chaos. » Ainsi le gouvernement doit poursuivre ses activités en Syrie après qu'Assad présente sa démission, a ajouté M.Cameron.