Des manifestations antigouvernementales ont éclaté en Turquie il y a près de deux semaines. Les premiers rassemblements ont eu lieu à Istanbul, lorsque des... 13.06.2013, Sputnik Afrique
Des manifestations antigouvernementales ont éclaté en Turquie il y a près de deux semaines. Les premiers rassemblements ont eu lieu à Istanbul, lorsque des habitants sont descendus dans la rue pour protester contre la destruction du parc de Gezi.
Des manifestations antigouvernementales ont éclaté en Turquie il y a près de deux semaines. Les premiers rassemblements ont eu lieu à Istanbul, lorsque des habitants sont descendus dans la rue pour protester contre la destruction du parc de Gezi.
Des manifestations antigouvernementales ont éclaté en Turquie il y a près de deux semaines. Les premiers rassemblements ont eu lieu à Istanbul, lorsque des habitants sont descendus dans la rue pour protester contre la destruction du parc de Gezi. Sur la photo: des protestataires près du parc de Gezi.
Suite à la violente répression de cette action, la contestation s'est diffusée à la moitié des provinces turques. Selon un bilan révisé, les affrontements entre les forces de l'ordre et les manifestants ont fait 5 morts, dont un policier.
Selon l'agence Reuters, les forces de l'ordre à bord de véhicules blindés ont détruit les barricades installées sur les rues menant à cette place. La police antiémeute a en outre tiré des balles en caoutchouc en direction de contestataires campant dans le parc de Gezi, près de Taksim.
Les forces de l'ordre ont déclaré leur intention d'ôter les banderoles "marginales" de la statue de Mustafa Kemal Atatürk et des bâtiments de la ville.
Bien que la plupart des protestataires aient accueilli avec compréhension cette démarche de la police, un nouvel affrontement n'a pas pu être évité – un groupe de provocateurs a attaqué la police, cette dernière ayant utilisé des gaz lacrymogènes et des canons à eau.
Après avoir dispersé les manifestants, la police s'est mise à enlever les banderoles et les drapeaux accrochés sur la statue d'Atatürk et sur le Centre culturel Atatürk.
Les autorités turques ont infligé des amendes à quatre chaînes locales ayant diffusé en direct les troubles sur la place Taksim d'Istanbul en raison de la "violence excessive" de certaines images.
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