L'UE veut notamment savoir si les programmes en question visent uniquement des résidents américains ou principalement des citoyens étrangers et européens.
Le Washington Post et The Guardian ont révélé la semaine dernière l'existence d'un réseau mondial de surveillance des échanges par mail, messageries instantanées, téléphone et réseaux sociaux qui impose aux sociétés du secteur américaines, et même étrangères, un accès à leurs serveurs, archives et données d'utilisateurs.