La Chambre basse examinait mardi en troisième et dernière lecture le projet de loi, pénalisant les offenseurs des sentiments de croyants de trois ans de prison ferme au maximum.
« Il convient de protéger à égalité les droits de tous – adeptes de diverses religions, ainsi que des athées », juge M. Loukine. Il s’est opposé à des peines disproportionnées.
« Elles doivent être plutôt publiques que dures », a remarqué le défenseur des droits de l’Homme.