Il s’agit du premier projet de la Chine en Arctique, alors que le pays se dit très intéressé par les réserves de pétrole et de gaz arctiques.
Eykon et CNOOC ont accepté de coopérer après les autorités islandaises aient obligé Eykon à trouver un partenaire international pour déposer une demande d’obtention de licence. La décision concernant l’émission du permis sur la mise en valeur du champ pétrolier devrait être prise dès cet automne.