Selon la Cour, cette procédure est comparable aux relevés d'empreintes digitales et est, par conséquent, autorisée par la Constitution.
La décision n'a pas été prise à l'unanimité. Certains juges de la Cour suprême n'étaient pas d'accord avec la majorité affirmant que cela étendait trop les compétences de la police.
Les organes de sécurité prélèvent déjà depuis longtemps des échantillons d'ADN des personnes condamnées. La pratique peut dorénavant être appliquée à l'égard des personnes qui n'ont pas été reconnues coupables.