« L'élection du président de la Commission au suffrage universel direct lui donne un pouvoir absolu différent », a indiqué la chancelière dans une interview au DerSpiegel. Selon le magazine, Merkel « ne voit pas la nécessité de doter la Commission européenne de plus de pouvoirs ».
Selon la pratique actuelle, un candidat à la présidence de la Commission européenne est proposé par le Conseil européen et approuvé par le Parlement européen pour un mandat de 5 ans.