La société maintient un contact avec le gouvernement du Kirghizistan, en espérant de régler la situation pacifiquement, a-t-il indiqué.
En février, le parlement kirghize a exigé de renégocier le contrat de la mise en valeur de la mine, signé en 2009, dans lequel la proportion le Kirghizistan n'a que 33% de participation. La transaction était bénéfique à la famille de l'ancien président Bakiev, mais était contraire aux intérêts de l'Etat.