La situation en Afghanistan suscite une inquiétude sérieuse de la Russie et de ses voisins de l'Asie centrale. On peut constater que les militaires occidentaux n'ont pas obtenu de résultats sensibles dans ce pays. Au contraire, les groupements terroristes et radicaux ont renforcé leur activité. À Moscou, on pronostique la croissance ultérieure des humeurs extrémistes là, ainsi que l'accroissement de la production les drogues.
Le président russe a marqué un important rôle de l'organisation dans l'augmentation de la sécurité et de la coopération dans la région.
Notre organisation joue un rôle considérable dans l’assurance de la stabilité dans la zone de sa responsabilité. C’est l’objectif de l'activité de ses structures politiques et militaires. Avant tout, des forces Collectives de réaction rapide et des forces pacificatrices. La coopération militaro-technique dans le cadre de l'OTSC est suivie de travail visant le renforcement de la coordination de la politique étrangère. Les aspects de ce travail sont examinés par nous constamment. Je compte que nous regarderons aujourd'hui dans une ambiance informelle comment se développe la situation en Afghanistan.
Le chef du Tadjikistan Emomali Rakhmon a marqué aussi l'importance de ce problème.
L'ordre du jour est actuel plus que jamais, car les raisons qui provoquent notre préoccupation et qui nous poussent à l’examen de l'état et de la structure du système de la sécurité collective, sont aussi évidentes aujourd'hui. Puisque les principaux appels et les menaces à notre sécurité sont provoqués par les thèmes afghans, il faut les examiner plus en détail.
Dans le cadre de la résistance à « la menace afghane », les chefs des États ont l'intention de coopérer plus activement et non seulement dans la sphère de sécurité. D’après l'avis du président de Russie, le développement économique de l'Asie centrale – c’est un des éléments les plus importants du calme et de la prévisibilité dans la région.