« Dans une rue paisible de Londres deux noirs – on sait maintenant qu’il s’agit de deux musulmans - ont sauvagement poignardé puis décapité un militaire, aux cris de Allah Akbar. Des parents et enfants d’une école primaire voisine ont été témoins de la scène. Après leur crime, l’un des deux hommes est resté sur place et a commencé à parler aux passants pour leur expliquer ce qu’ils avaient fait et les menacer : « Vous et vos enfants serez les prochains, » et « la seule raison pour laquelle nous avons tué cet homme aujourd’hui, c’est que les musulmans meurent chaque jour tués par des soldats britanniques. »
La deuxième histoire a trait à « une petite fille âgée de huit ans tuée par son « mari ». Le tout s’est passé en Afghanistan. L’histoire fut rendue publique par Mustafa Kazemi, journaliste afghan, correspondant de guerre. La fillette, de la province de Nimruz, avait été vendue en mariage à un mollah âgé de 50 ans, déjà marié et père de nombreux enfants. Ce mollah viola l’enfant qui mourut peu après exsangue sur son « lit de noces ».
Surtout n’allez pas me dire qu’il s’agit des deux faits divers sans queue ni tête. Plusieurs choses rapprochent de façon bizarre ces tragédies éloignées dans l’espace. Dans le premier cas aussi bien que dans le second il ne s’agit pas d’un acte gratuit à l’instar de « L’Etranger » de Camus, mais d’un acte de foi, de la signature de son obédience ou plus exactement de son assujettissement à une religion donnée avec tout ce qui s’en suit.
On voit bien le style et le genre. A chaque fois le message est imprimé dans le corps et l’esprit des faibles à soumettre. En fait ces actes cherchent à impressionner ou, pire, terroriser, pour bloquer toute résistance des autochtones. Un mollah, un homme investi de pouvoir se permet de violer un enfant. A-t-il raison ? Du point de vue des normes éthiques et religieuses qu’il professe, oui ! Un guerrier musulman britannique s’attaque à un militaire endimanché. A-t-il raison ? Certainement ! Il combat l’impérialisme et lutte contre l’invasion de son pays africain, car Londres est omniprésente dans les opérations de l’OTAN. De ce point de vue, si demain un ressortissant irakien essayait de s’attaquer au Président des Etats-Unis venger la mort de Saddam, il aura, lui aussi, raison, car on avait tué son président élu sur son sol, c’est à dire à Bagdad. Et n’allez pas me dire qu’il s’agissait d’un tyran. Si Pétain était un traître (ce qui se discute), cela ne veut pas dire que les Russes ou les Américains pouvaient venir le pendre en France. Autrement dit, la vraie guerre n’a pas été déclenchée par les terroristes jihadistes, mais par ceux qui ont porté le glaive dans les contrées dont ces gens-là sont originaires. Je ne cherche pas à attiser la haine mais juste à dire que la loi du talion évoquée par l’assassin du militaire britannique est appliquée également par Washington qui se permet de bombarder les bases des militaires musulmans ou encore par les Israéliens qui arrosent les banlieues de la capitale syrienne en déclarant qu’ils luttent contre le Hezbollah.
On combat donc en terre d’islam les peuples autochtones et puis on s’étonne de ce que ces peuples puissent porter la guerre dans la maison de l’agresseur. Quelles que soient mes convictions personnelles en tant qu’un homme de race blanche et chrétien jusqu’à la moelle des os, je ne peux refuser à ces peuples leur droit à la légitime défense. Le plus stupéfiant pour moi est de voir le même Occident qui, pour une raison obscure quoique compréhensible (pétrole, gaz, contrôle des territoires) a décidé d’exterminer des Etats entiers du dahr-el-islam, de voir, dis-je, cet Occident pactiser avec les ressortissants de ces territoires lorsqu’ils viennent s’installer en Europe Occidentale. Je crois avoir affaire à une expérience dénaturée de type bolchévique qui consiste en une tentative de brassage des sangs artificielle et contre nature.
En fait, l’Occident ne combat pas les ethnies locales mais leur religion. L’Occident cherche à imposer ses valeurs qui sont des valeurs destructrices, c’est-à-dire le droit à la consommation, la disparition de la famille, un athéisme des plus féroces, la pédophilie, même autorisée aux Pays-Bas… Dès que les ressortissants des pays musulmans adoptent ces valeurs négatives, on les reconnaît comme intégrés dans la nouvelle société qui, chose bizarre, n’est ni raciste ni fasciste. Le monde occidental ne combat pas les races : il combat les valeurs telles que la religion, la famille, la patrie. Vous voyez la différence avec l’approche des nazis et autres dictateurs des temps révolus. D’un certain point de vue l’Occident est vraiment diabolique parce qu’il refuse à un être humain tout ce qui le met au-dessus de la condition animale. Renonce à ton âme, suis-nous et profite de la vie ! – c’est ça la nouvelle anti-Bible des gourous atlantistes. Le pauvre Libyen n’avait causé aucun tort à qui que ce soit. En effet Kadhafi, doux rêveur de la Jamahiriya, ne sortait pas de l’ornière du train de vie d’un dictateur modèle comme il y en a à la pelle dans tous les pays du Tiers monde. Mais il ne voulait pas s’aligner sur le modèle occidental. Il jetait un défi à Paris. Il se croyait souverain dans ses gestes. Le croyait-il encore lorsque les rebelles libyens le sodomisaient avec un bâton avant de placer la scène sur you.tube ? Et qui est le plus barbare : le colonel Kadhafi qui s’achetait des maîtresses ou Obama qui sablait le champagne en observant d’un œil joyeux ce septuagénaire mourir de façon si atroce ?
La vérité n’est jamais tout entière du même côté et très souvent la communauté musulmane ne fait que renvoyer l’ascenseur. Je le dis à mon corps défendant et comprenant l’impopularité de ce commentaire pour le milieu que je fréquente dans ma vie privée.
D’un autre point de vue, faut-il laisser faire les musulmans et transformer la France en terre d’islam ? De leur point de vue, ils revendiquent le droit à la vengeance. Il s’agit de ceux qui veulent porter la guerre en Europe, dont le premier-ministre turc, désireux de redorer le blason de l’Empire Ottoman. D’autres encore ne font que défendre leurs valeurs contre un monde athée qui a remplacé en Europe le christianisme. Je trouve la réaction de ces gens parfaitement naturelle.
Le vide diabolique qui occupe désormais l’espace spirituel du continent européen est ennemi de toute religion et toute valeur spirituelle. Mais doit-on pour autant le remplacer par un islam triomphant pour fermer la plaie ? Le remède ne sera-t-il pas, pour les autochtones, pire que le mal ? C’est aux Occidentaux d’en décider. Une chose est sûre : la société qui vient d’éclore en Europe Occidentale n’est pas génétiquement l’héritière de la société historique européenne. C’est une non-culture basée sur les valeurs négatives qui ne font partie ni de notre culture ni de notre monde quelles que soit notre religion, chrétienne ou musulmane. Les gens réagissent par réflexe et cela conduit à des drames. La population autochtone (les Français de souche) est plongée dans la torpeur, conséquence logique du rejet de ces valeurs. Je suis sûr que les êtres humains triompheront des reptiliens qui se sont emparés du territoire du Vieux Monde. Mais je ne voudrais tout de même pas que la nouvelle société soit basée sur des valeurs permettant à des vieillards de violer les filles âgées de 8 ans et où l’on décapite les gens en pleine rue. Les lois propres à cette société régissent le Proche et le Moyen-Orient mais pas l’Europe. Ces lois ne doivent pas être appliquées en Europe. Donc pour que le continent se libère de l’idéologie négative et de la suprématie musulmane, il faudra que le christianisme s’éveille. Mais personne ne sait si cela aura lieu, quoique la violence appelle la violence, et si les actes comme celui qui a été perpétré à Londres serviront d’électrochoc pour faire émerger de leur léthargie. T
Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.
