De 2009 à 2012, l'armée de Belgique avait vendu 35 hélicoptères et 2 avions à un homme, que la police et le service de renseignements soupçonnent de blanchiment d'argent et du trafic des armes et de véhicules volés.
Le journal La Libre Belgique a mené sa propre enquête et a trouvé que l'armée belge vend régulièrement des munitions, des appareils, des équipements électriques, des camions, des véhicules blindés, des hélicoptères et des avions. Les journalistes sont venus à la conclusion que le ministère de la Défense ne vérifie pas des liens d'acheteurs avec les milieux criminels et des activités criminelles.
Il s'agit du fait qu'un équipement potentiellement dangereux de l'armée pourrait être revendu aux groupes criminels, aux terroristes ou aux pays en difficulté.
