Vingt-cinq otages étrangers ont été libérés dans le sud-est de l'Algérie où un groupe de terroristes liés à Al-Qaïda avait enlevé plus de 40 ressortissants étrangers et 150 Algériens, rapportent jeudi les médias internationaux.
Plus tôt, il a été annoncé que plusieurs otages étrangers avaient trouvé la mort lors des frappes lancées par des hélicoptères algériens contre les bâtiments du site gazier de BP-Sonatrach où les terroristes détenaient les otages. Selon l'agence Reuters, deux Japonais ont été blessés. Les frappes ont également fait des morts parmi les ravisseurs.
Selon les informations diffusées antérieurement, 10 à 20 otages étrangers et 30 otages algériens auraient réussi à s'enfuir.
Mercredi, un groupe de terroristes se réclamant d'Al-Qaïda au Maghreb islamique a attaqué le site gazier d'In Amenas géré par la coentreprise BP-Sonatrach, prenant en otages 20 à 40 ressortissants étrangers, dont des Français, des Américains, des Norvégiens, des Philippins, des Malaisiens, des Autrichiens et des Roumains, ainsi que jusqu'à 150 Algériens.
