En lisant les journaux ou en regardant les informations à la télévision, les femmes sont plus sensibles aux mauvaises nouvelles, fabriquant plus de hormones de stress que les hommes, ont constaté les experts canadiens de l'Université de Montréal.
Selon les scientifiques, les femmes sont sensibles au stress, car ils transposent une menace potentielle sur leurs enfants. Ce mécanisme psychologique peut se mettre en marche même auprès des membres de la gent féminine qui n’ont pas d’enfants.
Dans le même temps, les femmes vivent plus longtemps que les hommes. Les scientifiques espèrent trouver l’explication à ce paradoxe bientôt.