Andros Kyprianou, le chef du parti de gauche AKEL au pouvoir à Chypre, a déclaré que son pays devrait remettre en doute sa présence dans le zone euro, surtout si les créanciers de l'UE, la BCE et le FMI imposent des conditions trop difficiles pour leur aide financière.
D’autres membres du gouvernement n’ont pas donné de commentaires à ce sujet pour l’instant. Le président chypriote Dimitris Christofias, élu du parti AKEL par le suffrage universel, se prépare aux négociations avec la « troïka » sur le montant et les modalités du soutien financier pour Chypre. /L