Des personnalités russes du monde de la culture ont demandé la Cour suprême de Russie et le tribunal de Moscou de libérer les Pussy Riot et de classer leur dossier ou, au moins, l'examiner comme délit administratif et non pas pénal. Le document a été signé par 103 personnes.
Artistes, metteurs en scène et musiciens avouent apprécier de façons diffférentes le côté éthique et moral de l'action de février à la cathédrale du Christ-Sauveur. Cependant selon eux « il n'y a pas de raisons juridiques et de bon sens de garder en détention ces jeunes femmes qui ne reprsésentent aucun danger réel. D'autant plus que deux d'entre elles sont de jeunes mamans ».
Les avocats des Pussy Riot ont salué l'appel des intellectuels en faveur des jeunes femmes arrêtées et estiment qu'il contribuera à leur libération. /G.