Les pratiques sexuelles des pingouins, tels que décrits dans l'essai de Levick, le médecin de l’expédition de Robert Scott dans l'Antarctique de 1910-1912, ont été publiées pour la première fois à Londres 100 ans plus tard.
Le scientifique a découvert, entre autres choses, que les mâles s'accouplent avec des femelles mortes. Il a été tellement choqué par la « perversion sexuelle » des pingouins, que a fait des notes en grec, afin que ces indécences ne soient pas reconnus par grand public.
Douglas Russell du Musée d'Histoire Naturelle de Londres, estime que Levick, comme d'autres scientifiques, a trouvé à l'époque que les pingouins ressemblent aux hommes. C'est pourquoi le comportement sexuel des pingouins a été perçu comme obscène.