Les scientifiques américains ont découvert que la graisse qui se forme sur le ventre de l’homme a le don de réguler le fonctionnement du système immunitaire. Telle est la conclusion d’une étude publiée récemment dans le magazine PLoS ONE, qui analyse l’utilité de la graisse sur le ventre, considérée auparavant comme un atavisme.
Les résultats de l’étude pourraient permettre aux chercheurs d’élaborer de nouveaux médicaments pour les patients qui ont subi une greffe d'organes ou de tissus, ainsi qu’aux personnes souffrant de maladies auto-immunes comme le lupus (maladie systémique du tissu conjonctif), ou l’inflammation chronique du tube digestif.