Pour créer un système de synchronisation du temps au sein des groupes de robots, les ingénieurs ont utilisé le principe qui opère le concept de quorum chez les bactéries.
Le groupe de robots fonctionnait pendant un certain temps de telle manière que chaque robot introduisait dans sa définition sa propre contribution. Le temps dans ce cas représentait une sorte de ressource collective (chez les bactéries, cette ressource est représentée par des molécules qui contrôlent le concept de quorum). Cela a permis au groupe de maintenir une synchronisation commune.
Même si certains robots ont été supprimés du groupe, les robots restants soutenaient le temps commun.
Lorsque les robots supprimés étaient remis en place, ils s’adaptaient au temps partagé par l’ensemble des robots.