Le pouvoir les qualifie de bandits et de terroristes. Quant aux simples civils, soit ils les craignent, soit ils les soutiennent. Quand le correspondant de RIA Novosti préparait son voyage à Homs pour trouver les insurgés de l'Armée syrienne libre (ASL), on lui disait qu'il serait probablement tué par eux, car l'ASL déteste les Russes.
Le quartier Al Khalidya de Homs est presque entièrement détruit et rappelle la ville tchétchène de Grozny à l'époque de la Seconde guerre de Tchétchénie.
Un graffiti représentant des insurgés et portant des inscriptions en arabe et en anglais: "Nous reviendrons".
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