Un employé de la régie des transports de la ville italienne de Brecina, Andrea di Torro, vient de passer quelques années à traduire le livre de l’épouse de Lev Nilolaïevitch Tolstoï.
Il vient de l’auto éditer sous le nom de « la cuisine de Tolstoï ». Le livre de cuisine, écrit en russe d’avant la révolution, a posé de sérieux problèmes au traducteur amateur. Il lui a fallut près d’une année pour déterminer certains termes.
« Cette cuisine est celle d’une femme d’avant la révolution, qui connaissait la culture européenne du XIXe siècle. Et cela ressort véritablement dans la cuisine de Sofia Andreevna Tolstoya. C’est l’Europe qui s’invite à la table de la Russie », fait remarquer le traducteur.