La "Journée de la colère" du 25 janvier 2011 a marqué le début de la révolte égyptienne. Depuis, Le Caire ainsi que d'autres villes égyptiennes ont connu à... 25.01.2012, Sputnik Afrique
La "Journée de la colère" du 25 janvier 2011 a marqué le début de la révolte égyptienne. Depuis, Le Caire ainsi que d'autres villes égyptiennes ont connu à plusieurs reprises des troubles massifs et des accrochages qui ont abouti à la chute du régime de Hosni Moubarak.
La "Journée de la colère" du 25 janvier 2011 a marqué le début de la révolte égyptienne. Depuis, Le Caire ainsi que d'autres villes égyptiennes ont connu à plusieurs reprises des troubles massifs et des accrochages qui ont abouti à la chute du régime de Hosni Moubarak.
Depuis, Le Caire ainsi que d'autres villes égyptiennes ont connu à plusieurs reprises des troubles massifs et des accrochages qui ont abouti à la chute du régime de Hosni Moubarak.
Il y a un an, des milliers de personnes descendaient dans les rues des principales villes égyptiennes pour exiger le départ du président Hosni Moubarak ainsi que des réformes économiques et politiques.
C'est Le Caire qui a connu les accrochages les plus violents: pour retenir les manifestants rassemblés sur la place Tahrir et devant le Palais de justice la police s'est servie de lances à eau et de gaz lacrymogène.
Pour empêcher la coordination des mouvements d'opposition, les autorités égyptiennes ont bloqué l'accès aux réseaux sociaux Twitter et Facebook. En outre, la liaison par téléphone portable a été débranchée.
Il a fallu attendre 18 jours avant que le président ne démissionne. Le 11 février 2011, Hosni Moubarak a remis le pouvoir au Conseil suprême des forces armées présidé par le maréchal Mohamed Hussein Tantaoui.
Le 12 avril, le Parquet général d'Egypte a ordonné de placer en détention l'ex-président et ses deux fils, Alaa et Gamal. Ils sont accusés de corruption, d'abus de pouvoir, d'enrichissement illicite et notamment d'incitation au meurtre contre les manifestants lors des troubles qui se sont déroulés en Egypte en janvier.
Le dernier tour du scrutin s'est tenu le 11 janvier 2012. Le Parti de la liberté et de la justice (PLJ), issu des Frères musulmans, a recueilli 38% des voix (127 sur 332 sièges). Sur la photo: affrontements sur la place Tahrir, au Caire.
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