Après l'assaut du quartier général du gouvernement à Benghazi, le chef du gouvernement temporaire de Libye Moustafa Abdel Jalil a averti de danger du glissement du pays dans «un abîme».
Dans la nuit de samedi à dimanche près de 200 personnes l’ont fait irruption et vandalisaient à l’intérieur. Leur colère a été provoquée par l'adoption de lois sur les élections sans débat public, et à leur avis, cela contredit les normes de la démocratie. «Les Libyens ne veulent pas changer un tyran pour un autre, et les actions des nouvelles autorisé ne sont pas différents de ce que faisait Mouammar Kadhafi», - a dit un des participants de l'assaut.