Le gouvernement chinois a intensifié la pression sur les médias du pays par crainte de développement des événements selon le scénario arabe, a déclaré la Fédération Internationale des journalistes. Un grand nombre de militants, journalistes, ou blogueurs ont été emprisonnés et torturés pour des appels au soulèvement populaire contre le Parti communiste, qu’ils ont publiés sur Internet.
La Fédération Internationale des journalistes a déclaré qu'une série des publications qui s'occupent des investigations, ont été fermées, et au moins 16 journalistes ont été licenciés. Les conditions de travail des journalistes en Chine risquent de s'aggraver davantage, puisque le pays se prépare aux élections.