Le rapport sur les violences en Syrie, préparé pour le Conseil des droits de l’homme de l’ONU est partial. C’est ce qu’a jugé l’ambassadeur de Russie au Conseil Valéry Lochtchinine.
« Nous recommandons instamment une nouvelle fois à Damas de faire preuve d’ouverture et de laisser entrer des experts internationaux indépendants dans le pays », a ajouté le diplomate. On s’attend à ce que la session du Comité adopte un document, condamnant les autorités syriennes pour des crimes contre l’humanité lors des répressions des actions de protestation antigouvernementales.