Le directeur général de l’Organisation internationale du travail a rappelé que les protestations qui se sont déroulées un peu partout dans le monde, étaient placées sont sous le signe de lutte contre le chômage. Pour les leaders du G20 il est très important de trouver une solution afin de calmer ce mécontentement généralisé de la population. L’Organisation internationale du travail propose des mesures qui ont déjà prouvé leur efficacité dans différents pays. Avant tout il s'agit de l’augmentation des investissements dans l’infrastructure des emplois de 5-6 % du PIB jusqu’à 8-10%. Deuxièmement, il est nécessaire de garantir aux PME, qui créent en général des emplois, l’accès aux crédits des banques. La Russie et le Brésil l’ont déjà fait. Troisièmement, il est important de renforcer la création des emplois pour les jeunes. Et enfin, il est nécessaire que toutes les couches de la population puissent bénéficier du régime de la sécurité sociale.
Les experts apprécient chacun à leur manière les propositions de l’Organisation internationale du travail. Tout le monde est d’accord que le problème est présenté d'une manière juste.
Mais il existe un autre point de vue, selon lequel les tentatives de trouver les recettes de sauvetage de la crise dans le cadre du système politique global sont épuisés, est persuadé le membre du Conseil présidentiel pour le développement de la société publique et les droits de l’homme Boris Kravtchenko.
«Nous devons nous tourner vers les gens, nous devons créer des emplois, leur donner la possibilité de gagner bien leur vie, de dépenser l’argent dans des secteurs d'économie réels et c’est une issue correcte de la crise», trouve-t-il. «Les approches pareilles formulées par l’Organisation internationale du travail, c’est la seule solution pour sortir de la crise financière globale, dans la deuxième phase de laquelle nous entrons actuellement».